| Chansons | |
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+5le Kat la Gazelle Catamiaou Isis Pom 9 participants |
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Auteur | Message |
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Pom Citoyen(ne) d'Honneur
Nombre de messages : 607 Localisation : Naoned Date d'inscription : 29/11/2004
| Sujet: Chansons Mer 1 Déc à 19:54 | |
| je sais pas si c'est ici qu'il faut poster ca ^o^ ''' | |
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Pom Citoyen(ne) d'Honneur
Nombre de messages : 607 Localisation : Naoned Date d'inscription : 29/11/2004
| Sujet: Couche Tard et Leve Tot (Bénabar) Mer 1 Déc à 19:55 | |
| Quand il rentre le soir tard toujours en retard Le couche-tard fait des cauchemars les fantômes dans le placard Il promet de ne plus jamais boire Entre cafard et café noir Le couche-tard
Quand il rentre plus tôt du boulot le lève tôt Il tire les rideaux et s'installe au chaud le dîner en plateau Il se préoccupe de la météo Est-ce que demain il fera beau? Le lève-tôt
Couche-tard et lève-tôt se retrouvent dans le premier métro
Le métro a ceci de joli qu'on y voit le jour comme en pleine nuit
Accroché au comptoir le couche-tard toujours sur le départ Cherche un auditoire qu'il accapare et invente des histoires Parfois une petite bagarre Parfois au désespoir
Au galop le lève-tôt fonce au bureau l'oeil sur le chrono A l'assaut de la semaine et des matins jumeaux rien rien de nouveau Et pour mettre du vin dans son eau il attend ses jours de repos Le moral à zéro
Couche-tard et lève-tôt se retrouvent dans le premier métro
"Le lève-tôt est un tocard" prétend le couche-tard "Le couche-tard un blaireau" assure le lève-tôt
Le métro a ceci de joli qu'on y voit le jour comme en pleine nuit. | |
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Pom Citoyen(ne) d'Honneur
Nombre de messages : 607 Localisation : Naoned Date d'inscription : 29/11/2004
| Sujet: Mother Pray (Ben Harper) Mer 1 Déc à 19:57 | |
| How sweet and happy seem those days of which I dream Memories I recall now and then And with a rapture sweet my weary heart would beat If I could hear my mother pray again
If I could only hear my mother pray again If I could hear her tender voice as then How happy I would be It would mean so much to me If I could hear my mother pray again
Around the old homeplace her cherishing smiling face Was always bringing comfort joy and cheer And when she used to sing to her eternal King It was the sound I loved to hear
If I could only hear my mother pray again If I could hear her tender voice as then How happy I would be It would mean so much to me If I could hear my mother pray again
If I could hear my mother pray again If I could hear my mother pray again | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Mer 8 Déc à 16:51 | |
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Catamiaou Propriétaire
Nombre de messages : 118 Date d'inscription : 30/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Ven 10 Déc à 14:41 | |
| Vies monotones - Nous avons des vies monotones, Rien dans le cœur, rien dans la main. Comme on ne dit plus rien à personne, Personne ne nous dit plus rien.
Nous avons des vies monotones, Des maisons vides et fermées, Des portes lourdes et blindées Que n'ouvriront plus jamais personne.
Mais comme il faut bien qu'on vive, S'asseoir avec le même convive, C'est pas le festin qu'on croyait, Pas de fusée, pas de vin, pas de sorbet, Y a plus qu'à tirer la nappe à soi, Continuer chacun pour soi.
Nous avons des vies monotones, Rien dans le cœur, rien dans la main, Comme on n'attend rien de personne, On n'a plus réponse à rien.
Nous avons des vies monotones, Entourés d'hommes et de chiens, Ceux qui mangent dans notre main, Ce sont ceux-là qu'on abandonne
Mais comme il faut bien qu'on vive Ce soir avec le même convive, C'est pas la fête qu'on croyait Où sont les lumières qui brillaient. Y a plus qu'à tirer la nappe à soi, Continuer chacun pour soi.
Nous avons des vies sans mélange Qui s'en iront de tous côtés, Raides et droites comme une planche Sur l'océan de pauvreté.
Gérard Manset | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Sam 11 Déc à 4:54 | |
| Gonflée comme une baleine Echouée dans mon salon Rentrée dans mes bas d'laine Jusqu'au double-menton J'étais dans un dilemne Est-ce que j'le fais ou non? Et ça faisait des semaines Qu'j'me posais la question Quand on passe la trentaine Faut qu'on passe à l'action Mais comme on s'trouve vilaine On reste à la maison J'rentrais plus dans mon linge L'ultime solution C'était de faire le singe D'vant ma télévision J'ai acheté la cassette Le fameux vidéo Avec trois filles parfaites Qui suivent le même tempo J'suis allée en cachette J'suis revenue en auto Toute équipée de serviettes Et de grandes bouteilles d'eau J'm'imaginais déjà En patin à roulettes Le p'tit top en lycra Moulée sur ma silhouette Légère comme une ballerine Droite comme une majorette Avec mes shorts en jean Mes pads et mes deux couettes Mais au bout d'un quart d'heure A suivre leur exemple Etendue dans ma sueur Et tordue par les crampes Il m'a fallu admettre Qu'elles avaient du mérite Les trois jolies minettes Et leurs fesses en granit Mais n'abandonnant rien J'ai repris de plus belle Le redondant refrain De leur chanson cruelle Allez 1, 2, 3, 4 Allez, un peu plus haut! Les joues comme des tomates Les seins comme du jello J'm'imaginais déjà Le nombril dans les pages Des calendriers qu'y a Sur les murs des garages Musclée comme une athlète Mouillée comme une sirène Avec des p'tites gouttelettes Sur ma jolie bedaine Après, c'est sur le dos Qu'il fallait que j'm'étende Moi qui rêvais d'repos J'étais plutôt contente Jusqu'à ce qu'elles disent les mots Que j'voulais pas entendre "Pour les abdominaux, faut... Soulever les jambes" J'vibrais comme une auto Dû pour un alignement Quand soudain mes rideaux M'ont semblés transparents J'tais sûre que mes voisins M'observaient en riant Sacrer comme un païen Baver comme un volcan J'm'imaginais déjà Couchée sur une civière La tête en-d'ssous du drap Les ch'veux dans la glissière Un p'tit mot dans l'journal Disant qu'on m'a trouvée En position foetale Au pied de ma télé... Bien sûr, très rapidement Pendant qu'ces demoiselles Continuaient en souriant De jouer à la sauterelle J'râlais sur mon divan Avec un Seven Up Et j'crois qu'c'est en rotant Que j'ai pesé sur "Stop" Et ma précieuse cassette Repose depuis ce jour A plat sur une tablette Avec des 33 tours Quand j'commence à m'sentir Serrée dans mes vêtements Regardez-moi courir... En acheter des plus grands ! Lynda Lemay | |
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Catamiaou Propriétaire
Nombre de messages : 118 Date d'inscription : 30/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Dim 12 Déc à 19:21 | |
| Voilà pour nous la plus belle chanson de Lynda Lemay . Lynda Lemay La centenaire Paroles et Musique: Lynda Lemay 2002 "Les lettres rouges" -------------------------------------------------------------------------------- Ca fait cent longs hivers que j'use le même corps j'ai eu cent ans hier mais qu'est-ce qu'elle fait la mort J'ai encore toute ma tête elle est remplie d'souvenirs de gens que j'ai vus naître puis que j'ai vus mourire J'ai tellement porté d'deuils qu'j'en ai les idées noires j'suis là que j'me prépare je choisis mon cercueil Mais l'docteur me répète visite après visite qu'j'ai une santé parfaite y'est là qu'y m'félicite {Refrain:} J'ai vu la Première guerre le premier téléphone me voilà centenaire mais bon, qu'est-ce que ça me donne les grands avions rugissent y'a une rayure au ciel c'est comme si l'éternel m'avait rayée d'sa liste Ca fait cent longd hivers que j'use le même corps j'ai eu cent ans hier mais qu'est-ce qu'elle fait la mort Qu'est-ce que j'ai pas fini qu'y faudrait que j'finisse perdre un dernier ami enterrer mes petits-fils? J'ai eu cent ans hier ma place est plus ici elle est au cimetière elle est au paradis Si j'mertais l'enfer alors c'est réussi car je suis centenaire et j'suis encore en vie {au Refrain} Moi j'suis née aux chandelles j'ai grandi au chaudron bien sûr que j'me rappelle du tout premier néon J'ai connu la grande crise j'allais avoir 30 ans j'ai connus les églises avec du monde dedans Moi j'ai connu les cheveaux et les planches à laver un fleuve beau qu'on pouvait se baigner Moi j'ai connu l'soleil avant qu'y soit dangereux faut-il que je sois veille venez m'chercher, bon dieu J'ai eu cent ans hier c'est pas qu'j'ai pas prié mais ça aurait tout l'air que dieu m'a oubliée Alors j'ai des gardiennes que des nouveaux visages des amies de passage payées à la semaine Elles parlent un langage qui n'sera jamais le mien et ça m'fait du chagrin d'avoir cinq fois leur âge Et mille fois leur fatigue immobile à ma fenêtre pendant qu'elles naviguent tranquilles sur internet {au Refrain} C'est vrai qu'j'attends la mort mais c'est pas qu'j'sois morbide c'est qu'j'ai cent ans dans l'corps et qu'j'suis encore lucide C'est que je suis avide mais qu'y a plus rien à mordre c'est au'mon passé déborde et qu'mon avenir est vide On montre à la télé des fusées qui décollent est-ce qu'on va m'expliquer ce qui m'retient au sol Je suis d'une autre école j'appartiens à l'histoire j'ai eu mes années folles J'ai eu un bon mari et quatre beaux enfants mais tout l'monde est parti dormir au firmament Et y'a qui moi qui veille qui vis, qui vis encore je tombe de sommeil mais qu'est-ce qu'elle fait la mort. -------------------------------------------------------------------------------- | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Mar 14 Déc à 2:21 | |
| La tendresse
On peut vivre sans richesse, Presque sans le sou. Des seigneurs et des princesses, Y-en-a plus beaucoup. Mais vivre sans tendresse, on ne le pourrait pas. Non, non, non, non : on ne le pourrait pas.
On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien. Etre inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien. Mais vivre sans tendresse, il n'en est pas question. Non, non, non, non : il n'en est pas question.
Quelle douce faiblesse, Quel joli sentiment, Ce besoin de tendresse Qui nous vient en naissant. Vraiment, vraiment, vraiment.
Le travail est nécessaire, Mais s'il faut rester Des semaines sans rien faire, Eh bien... on s'y fait. Mais vivre sans tendresse, le temps vous paraît long, Long, long, long, long : le temps vous parait long.
Dans le feu de la jeunesse, Naissent les plaisirs, Et l'amour fait des prouesses Pour nous éblouir. Oui mais sans la tendresse, l'amour ne serait rien. Non, non, non, non : l'amour ne serait rien.
Quand la vie impitoyable, Vous tombe dessus. On est plus qu'un pauvre diable, Broyé et déçu. Alors sans la tendresse, d'un coeur qui nous soutient, Non, non, non, non : on n'irait pas plus loin.
Un enfant vous embrasse, Parce qu'on le rend heureux. Tous nos chagrins s'effacent, On a les larmes aux yeux. Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse, Immense ferveur, Faites donc pleuvoir sans cesse, Au fond de nos coeurs, Des torrents de tendresse pour que règne l'amour... Règne l'amour... jusqu'à la fin des jours.
Bourvil- 1963 Paroles : Noël Roux Musique : Hubert Giraud Orchestre : Jerry Mengo | |
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Catamiaou Propriétaire
Nombre de messages : 118 Date d'inscription : 30/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Mar 14 Déc à 14:50 | |
| Oh oui, quel plaisir, je viens de me la fredonner avec ses jolies paroles... tendres bien évidemment ; elle était restée bien cachée au fond de ma mémoire mais c'est la magie des chansons, tu l'as réveillée au bois où elle sommeillait, intacte depuis toutes ces années. Merci... pour la "grâce de tes chansons" le Kat "t'offrira un blason"..... | |
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la Gazelle Adjointe à la vie de qualité
Nombre de messages : 3778 Localisation : Versailles Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Sam 18 Déc à 23:50 | |
| Je t'aime...
Quand tu dors près de moi J'ai le cœur au bout des doigts Je t'aime
Quand tu pleures dans mes bras J'ai les yeux qui pleurent pour toi Je t'aime
Je te ferai dormir D'amour et de plaisir Viens je t'emmène Où l'on n'emmène pas
J'allumerai des soleils La nuit pour qu'elle soit plus belle Je t'aime
Je ferai valdinguer Les frontières du monde entier Je t'aime
Je te ferai bâtir Des châteaux et des empires Si tu m'emmènes
Où l'on n'emmène pas On ne reviendra pas
On fera des voyages À déchirer les nuages Je t'aime
On fera toi et moi Des choses qui n'existent pas Je t'aime
Je te ferai venir Où l'on ne peut pas mourir Viens je t'emmène
Où l'on n'emmène pas On ne reviendra pas
Michel Polnareff | |
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le Kat Maire du village
Nombre de messages : 1744 Localisation : les Alpes Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Dim 19 Déc à 10:31 | |
| Les Dessous Chics
Les dessous chics, c'est ne rien dévoiler du tout, se dire que lorsqu'on est à bout, c'est tabou. Les dessous chics, c'est une jarretelle qui claque, dans la tête, comme une paire de claques. Les dessous chics, ce sont des contrats résiliés, qui, comme des bas résillés, ont filé.
Les dessous chics, c'est la pudeur des sentiments maquillée outrageusement rouge sang. Les dessous chics, c'est se garder au fond de soi, fragile comme un bas de soie. Les dessous chics, c'est des dentelles et des rubans d'amertume, sur un paravent désolant.
Les dessous chics, c'est des dentelles et des rubans d'amertume, sur un paravent désolant. Les dessous chics, ce serait comme un talon aiguille qui transpercerait le coeur des filles...
Gainsbarre | |
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Catamiaou Propriétaire
Nombre de messages : 118 Date d'inscription : 30/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Dim 19 Déc à 14:44 | |
| Un petit souvenir de mes 9 ans une des plus belles chansons de cet artiste ..... ICa n'arrive qu'aux autres La petite bête jouait au jardin Et j'avais sa tête au creux de ma main Un oiseau de plus Un oiseau de moins Tu sais, la différence c'est le chagrin Il n'y a pas eu école ce matin Il n'y aura plus d'enfance au jardin Un oiseau de plus Un oiseau de moins Tu sais, la différence c'est le chagrin La petite bête jouait au jardin C'était une fête comme tous les matins Un oiseau de toi Un oiseau de moi Venait ici manger dans notre main Ça n'arrive qu'aux autres Mais c'était le nôtre Tu sais, la différence c'est le chagrin Michel Polnareff (1971) Ceci était un test : si vous ne pleurez pas, allez vous faire psychanalyser car vous refoulez vos émotions depuis votre toute petite enfance et cela est devenu chez vous un processus inconscient sur lequel vous n'avez plus aucune prise....Texte co-écrit et offert par Catamiaou & Elisabeth Tessier's Cie | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Lun 3 Jan à 0:10 | |
| Qui n'a pas pleuré ? ;-)
C'était une bonne année je crois
La neige devant ma fenêtre Habille le jardin de blanc Et le brouillard fait disparaître Les arbres penchés sous le vent Sur les carreaux givrés d'étoiles Les fleurs que dessine le froid Devant mes yeux l'année se voile C'était une bonne année je crois Devant mes yeux l'année se voile C'était une bonne année je crois
L'année se meure l'hiver l'entraîne Je pense à mes espoirs déçus A mes chagrins à quelques peines Aux joies et au bonheur connus Et si mes poches restent vides J'ai gagné mille souvenirs Si mon visage a pris quelques rides Ce sont les traces des sourires Si mon visage a pris quelques rides Ce sont les traces des sourires
Les rires et les chansons s'égarent Au dernier souffle de l'année La neige tombe en ma mémoire Sur toutes mes erreurs passées Du vin nouveau dort dans ma cave Un grand feu dans ma cheminée Sur ma guitare quelques octaves Sont mes richesses bien gardées Sur ma guitare quelques octaves Sont mes richesses bien gardées
Tes doigts se glissent dans mes cheveux Tu mets ton bras autour de moi Je jette une bûche sur le feu C'était une bonne année je crois Je jette une bûche sur le feu C'était une bonne année je crois La la la la la ......
Frederik Mey | |
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la Gazelle Adjointe à la vie de qualité
Nombre de messages : 3778 Localisation : Versailles Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Mar 4 Jan à 3:58 | |
| Je suis malade
Je ne rêve plus Je ne fume plus Je n'ai même plus d'histoire Je suis sale sans toi Je suis laid sans toi Je suis comme un orphelin dans un dortoir
Je n'ai plus envie De vivre ma vie Ma vie cesse quand tu pars Je n'ai plus de vie Et même mon lit Se transforme en quai de gare quand tu t'en vas
Je suis malade, complètement malade Comme quand ma mère sortait le soir Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir Je suis malade, parfaitement malade T'arrives - on ne sait jamais quand Tu pars - on ne sait jamais où Et ça va faire bientôt deux ans que tu t'en fous
Comme à un rocher Comme à un péché Je suis accroché à toi Je suis fatigué Je suis épuisé De faire semblant d'être heureux quand ils sont là
Je bois toutes les nuits Mais tous les whisky Pour moi ont le même goût Et tous les bateaux Portent ton drapeau Je ne sais plus où aller, tu es partout
Je suis malade, complètement malade Je verse mon sang dans ton corps Et je suis comme un oiseau mort quand toi, tu dors Je suis malade, parfaitement malade Tu m'as privé de tous mes chants Tu m'as vidé de tous mes mots Pourtant moi, j'avais du talent avant ta peau
Cet amour me tue Si ça continue Je crèverai seul avec moi Près de ma radio Comme un gosse idiot Écoutant ma propre voix qui chantera :
Je suis malade, complètement malade Comme quand ma mère sortait le soir Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir Je suis malade, c'est ça, je suis malade Tu m'as privé de tous mes chants Tu m'as vidé de tous mes mots Et j'ai le coeur complètement malade Cerné de barricades...
T'entends ? Je suis malade !
Serge Lama | |
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Kinamoon Kriskatanois(e)
Nombre de messages : 474 Localisation : Laval (Québec) Date d'inscription : 03/01/2005
| Sujet: Re: Chansons Jeu 6 Jan à 7:35 | |
| Celine Dion Le Pouvoir De L'Amour Les chuchotements dans le matin Des amoureux qui dormirent doucement Résonnent comme le ferait le tonnerre Quand je regarde dans tes yeux Je me raccroche à ton corps Et ressens chaque mouvement que tu fais Ta voix et tendre et chaude Un amour que je ne pourrais jamais abandonner Car je suis ta femme Et tu es mon homme Chaque fois que tu chercheras à m'atteindre Je ferai tout ce que je peux Perdue, voilà comment je me sens quand je repose dans tes bras Quand le monde qui m'entoure Devient trop difficile à supporter Tout cela s'efface quand je suis dans tes bras Même s'il y a des moments Où je semble être bien loin de toi Ne te demande jamais où je suis Car je suis toujours à tes côtés Nous nous dirigeons quelque part Quelque part où je ne suis jamais allée Parfois je suis effrayée Mais je suis prête à apprendre Du pouvoir de l'amour Les battements de ton coeur Me le font voir clairement Car soudainement le sentiment de ne plus pouvoir avancer Est à des années-lumières de moi | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Lun 10 Jan à 4:10 | |
| Gauguin (Lettre à Jacques Brel)
Il pleut sur l'île d'Hiva-Oa. Le vent, sur les longs arbres verts Jette des sables d'ocre mouillés. Il pleut sur un ciel de corail Comme une pluie venue du Nord Qui délave les ocres rouges Et les bleus-violets de Gauguin. Il pleut. Les Marquises sont devenues grises. Le Zéphir est un vent du Nord, Ce matin-là, Sur l'île qui sommeille encore.
Il a dû s'étonner, Gauguin, Quand ses femmes aux yeux de velours Ont pleuré des larmes de pluie Qui venaient de la mer du Nord. Il a dû s'étonner, Gauguin, Comme un grand danseur fatigué Avec ton regard de l'enfance.
Bonjour monsieur Gauguin. Faites-moi place. Je suis un voyageur lointain. J'arrive des brumes du Nord Et je viens dormir au soleil. Faites-moi place.
Tu sais, Ce n'est pas que tu sois parti Qui m'importe. D'ailleurs, tu n'es jamais parti. Ce n'est pas que tu ne chantes plus Qui m'importe. D'ailleurs, pour moi, tu chantes encore, Mais penser qu'un jour, Les vents que tu aimais Te devenaient contraire, Penser Que plus jamais Tu ne navigueras Ni le ciel ni la mer,
Plus jamais, en avril, Toucher le lilas blanc, Plus jamais voir le ciel Au-dessus du canal. Mais qui peut dire ? Moi qui te connais bien, Je suis sûre qu'aujourd'hui Tu caresses les seins Des femmes de Gauguin Et qu'il peint Amsterdam. Vous regardez ensemble Se lever le soleil Au-dessus des lagunes Où galopent des chevaux blancs Et ton rire me parvient, En cascade, en torrent Et traverse la mer Et le ciel et les vents Et ta voix chante encore. Il a dû s'étonner, Gauguin, Quand ses femmes aux yeux de velours Ont pleuré des larmes de pluie Qui venaient de la mer du Nord. Il a dû s'étonner, Gauguin.
Souvent, je pense à toi Qui a longé les dunes Et traversé le Nord Pour aller dormir au soleil, Là-bas, sous un ciel de corail. C'était ta volonté. Sois bien. Dors bien. Souvent, je pense à toi.
Je signe Léonie. Toi, tu sais qui je suis, Dors bien.
Barbara | |
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la Gazelle Adjointe à la vie de qualité
Nombre de messages : 3778 Localisation : Versailles Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Lun 10 Jan à 15:02 | |
| Fais-moi une place
Fais-moi une place Au fond d' ta bulle Et si j' t'agace Si j'suis trop nul Je deviendrai Tout pâle, tout muet, tout p'tit Pour que tu m'oublies
Fais-moi une place Au fond d' ton cœur Pour que j' t'embrasse Lorsque tu pleures Je deviendrai Tout fou, tout clown, gentil Pour qu' tu souries
J' veux q' t'aies jamais mal Q' t'aies jamais froid Et tout m'est égal Tout, à part toi Je t'aime
Fais-moi une place Dans ton av'nir Pour que j'ressasse Moins mes souvenirs Je s'rais jamais Eteint hautain lointain Pour qu'tu sois bien
Fais-moi une place Dans tes urgences Dans tes audaces Dans ta confiance Je s'rai jamais Distant, distrait, cruel Pour q' tu sois belle
J' veux pas q' tu t'ennuies J' veux pas q' t'aies peur J' voudrais q' tu oublies L' goût du malheur Je t'aime
Une petite place Ici, maintenant Car le temps passe À pas d' géant Je me ferai Tout neuf, tout beau, tout ça... Pour être à toi
Julien Clerc | |
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Kinamoon Kriskatanois(e)
Nombre de messages : 474 Localisation : Laval (Québec) Date d'inscription : 03/01/2005
| Sujet: Re: Chansons Lun 10 Jan à 18:08 | |
| Ma Belle Amie
Ma belle amie Tu étais l'enfant du soleil et du ciel Et de la mer bleue Ma belle amie Après tous les beaux jours, je te dis merci, merci Tu étais la réponse à toutes mes questions Avant que ce ne soit terminé entre nous Je veux te dire que je t'adore Et je t'adorerai toujours Que tu m'épates du fait que tu me quittes et que tu recommences en neuf Ma belle amie Je suis amoureux de toi
Que les cloches sonnent Que les oiseaux chantent Levons nos verres à la santé de mon substitut Que les cloches sonnent Que les oiseaux chantent Parce que l'homme qui lui suivra attend ici Parce que l'homme qui lui suivra attend ici
Ma belle amie Tu étais l'enfant du soleil et du ciel Et de la mer bleue Ma belle amie Il fut un temps où tu pensais Que j'étais ton seul ami Tu étais la réponse à toutes mes questions Avant que ce ne soit terminé entre nous Je veux te dire que je t'adore Et je t'adorerai toujours Que tu m'épates du fait que tu me quittes et que tu recommences en neuf Ma belle amie Je suis amoureux de toi
Que les cloches sonnent Que les oiseaux chantent Levons nos verres à la santé de mon substitut Que les cloches sonnent Que les oiseaux chantent Parce que l'homme qui lui suivra attend ici Parce que l'homme qui lui suivra attend ici
Ma belle amie Tu étais l'enfant du soleil et du ciel Et de la mer bleue Ma belle amie Après tous les beaux jours, je te dis merci, merci Tu étais la réponse à toutes mes questions Avant que ce ne soit terminé entre nous Je veux te dire que je t'adore Et je t'adorerai toujours Que tu m'épates du fait que tu me quittes et que tu recommences en neuf Ma belle amie Je suis amoureux de toi Ma belle amie Je suis amoureux de toi | |
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Pom Citoyen(ne) d'Honneur
Nombre de messages : 607 Localisation : Naoned Date d'inscription : 29/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Sam 15 Jan à 15:17 | |
| Tous les cris, les SOS Daniel Balavoine Comme un fou va jeter à la mer Des bouteilles vides et puis espère Qu'on pourra lire à travers S.O.S. écrit avec de l'air Pour te dire que je me sens seul Je dessine à l'encre vide Un désert Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Difficile d'appeler au secours Quand tant de drames nous oppressent Et les larmes nouées de stress Etouffent un peu plus les cris d'amour De ceux qui sont dans la faiblesse Et dans un dernier espoir Disparaissent Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoile sur les rochers Et j'ai ramassé les bouts de verre J'ai recollé tous les morceaux Tout était clair comme de l'eau Contre le passé y a rien à faire Il faudrait changer les héros Dans un monde où le plus beau Reste à faire Et je cours Je me raccroche à la vie Je me saoule avec le bruit Des corps qui m'entourent Comme des lianes nouées de tresses Sans comprendre la détresse Des mots que j'envoie Tous les cris les S.O.S. Partent dans les airs Dans l'eau laissent une trace Dont les écumes font la beauté Pris dans leur vaisseau de verre Les messages luttent Mais les vagues les ramènent En pierres d'étoiles sur les rochers snif ca m'emeut | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Jeu 20 Jan à 15:32 | |
| Serait-elle à ma place plus forte qu'un homme au bout de ces impasses ou elle m'abandonne Vivre l'enfer mourir au combat faut-il pour lui plaire aller jusque là Se peut-il que j'y parvienne Se peut-il qu'on nous pardonne Se peut-il qu'on nous aime pour ce que nous sommes
Se met-il à ma place quelques fois quand mes ailes se froissent et mes îles se noient Je plie sous le poids plie sous le poids de cette moitié de femme qu'il veut que je sois Je veux bien faire la belle, mais pas dormir au bois Je veux bien être reine, mais pas l'ombre du roi Faut-il que je cède Faut il que je saigne pour qu'il m'aime aussi pour ce que je suis
Pourrait-il faire en sorte Ferait-elle pour moi ouvrir un peu la porte ne serait ce qu'un pas Pourrait il faire encore encore un effort un geste un pas un pas vers moi...
Je n'attends pas de toi que tu sois amène Je n'attends pas de toi que tu me comprennes, Seulement que tu m'aimes pour ce que je suis
Se met-elle à ma place quelques fois Que faut-il que je fasse pour qu'elle me voit Vivre l'enfer mourir au combat, veux-tu faire de moi ce que je ne suis pas Je veux bien tenter l'effort de regarder en face mais le silence est mort et le tien me glace Mon âme sour cherche l'erreur Plus mon sang se vide et plus tu as peur
Faut-il que je t'apprenne je ne demande rien les eaux troubles ou je traîne ou tu vas d'où tu viens Faut-il vraiment que tu saches tout ce que tu caches tout au fond de moi au fond de toi
Je n'attends pas de toi que tu sois amène Je n'attends pas de toi que tu me comprennes, Mais seulement que tu m'aimes seulement que tu m'aimes pour ce que je suis
Quand je doute Quand je tombe Et quand la route est trop longue Quand parfois je ne suis pas ce que tu attends de moi Que veux-tu qu'on y fasse Qu'aurais-tu fais à ma place ?
Zazie et Axel Bauer | |
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la Gazelle Adjointe à la vie de qualité
Nombre de messages : 3778 Localisation : Versailles Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Sam 22 Jan à 3:45 | |
| Cette chanson passait à la radio un soir où j'étais en voiture... J'ai trouvé les paroles très touchantes et troublantes de vérité...
Si seulement je pouvais lui manquer
Il suffirait simplement Qu'il m'appelle Qu'il m'appelle D'où vient ma vie Certainement pas du ciel
Lui raconter mon enfance Son absence Tous les jours Comment briser le silence Qui l'entoure
Aussi vrai que de loin Je lui parle J'apprends tout seul A faire mes armes Aussi vrai qu' j'arrête pas D'y penser Si seulement Je pouvais lui manquer
Est ce qu'il va me faire un signe Manquer d'amour N'est ce pas un crime J'ai qu'une prière à lui adresser Si seulement Je pouvais lui manquer
Je vous dirais simplement Qu'à part ça Tout va bien A part d'un père Je ne manque de rien Je vis dans un autre monde Je m'accroche tous les jours Je briserai le silence Qui m'entoure
Aussi vrai que de loin Je lui parle J'apprends tout seul A faire mes armes Aussi vrai qu' j'arrête pas D'y penser Si seulement Je pouvais lui manquer
Est ce qu'il va me faire un signe Manquer d'amour N'est ce pas un crime J'ai qu'une prière à lui adresser Si seulement Je pouvais lui manquer
Calogero | |
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Isis Adjointe à la qualité de vie
Nombre de messages : 4193 Localisation : Villepinte Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Sam 22 Jan à 12:47 | |
| Il y a 60 ans le 27 janvier, Auschwitz était libéré
NUIT ET BROUILLARD
Ils étaient vingt et cent ils étaient des milliers Nus et maigres tremblants dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants Ils étaient des milliers ils étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes n'étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir l'été
La fuite monotone et sans hâte du temps Survivre encore un jour une heure obstinément Combien de tours de roues d'arrêts et de départs Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir Il s s'appelaient Jean-Pierre Natacha ou Samuel Certains priaient Jésus Jéhovah ou Vichnou D'autres ne priaient pas mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux
Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent - ils être heureux Ils essaient d'oublier étonnés qu'à leur âge Les veines de leurs bras soient si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers
On me dit qu'à présent ces mots n'ont plus cours Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter L'ombre s'est faite humaine aujourd'hui c'est l'été Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Vous étiez vingt et cent vous étiez des milliers Nus et maigres tremblants dans ces wagons plombés Qui déchirez la nuit de vos ongles battants Vous étiez des milliers vous étiez vingt et cent
Jean Ferrat | |
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Kinamoon Kriskatanois(e)
Nombre de messages : 474 Localisation : Laval (Québec) Date d'inscription : 03/01/2005
| Sujet: Re: Chansons Dim 30 Jan à 22:24 | |
| Pour toi mon héro ta chanson..................................... C'Est Ma Vie Ceci n'est pas une chanson pour les coeurs brisés Ni une prière pour les espoirs déçus Et je ne serai pas qu'un visage parmi la foule Tu entendras ma voix quand je vais crier, fort C'est ma vie C'est maintenant ou jamais Mais je ne vivrai jamais pour toujours Je veux seulement vivre pendant que j'existe C'est ma vie Mon coeur est comme une autoroute libre Comme Frank, qui dit 'je le fais comme je veux' Je veux seulement vivre pendant que j'existe C'est ma vie Ceci est pour ceux qui savent revendiquer Pour Tommy et Gina qui ne reculent jamais Demain est plus difficile, ne fais pas d'erreur La chance, ce n'est pas assez, tu dois mener ton jeu Reste droit quand ça t'appelle Ne plie pas, ne casse pas Bébé, ne recule pas Jt'embrasse fort fort | |
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le Kat Maire du village
Nombre de messages : 1744 Localisation : les Alpes Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Mer 2 Fév à 17:54 | |
| C'est initialement une chanson de Francis Cabrel. Interprétée par les Enfoirés, c'est un pur moment d'émotion, suivi de "Tous les cris, les SOS", qui est de la même veine... (à découvrir sur l'album ou le DVD 2004, "Les Enfoirés dans l'espace") Il faudra leur direSi c'est vrai qu'il y a des gens qui s'aiment Si les enfants sont tous les mêmes Alors il faudra leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Juste un regard facile à faire Un peu plus d'amour que d'ordinaire Puisqu'on vit dans la même lumière Même s'y a des couleurs qu'ils préfèrent Nous, on voudrait leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Juste un regard facile à faire Un peu plus d'amour que d'ordinaire Juste un peu plus d'amour encore Pour moins de larmes, pour moins de vide Pour moins d'hiver... Puisqu'on vit dans le creux d'un rêve Avant que l'amour ne touche nos lèvres Nous on voudrait leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Il faudra leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Juste un regard facile à faire Un peu plus d'amour que d'ordinaire Si c'est vrai qu'il y a des gens qui s'aiment Si les enfants sont tous les mêmes Alors il faudra leur dire les mots qu'on reçoit C'est comme des parfums qu'on respire Il faudra leur dire... | |
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le Kat Maire du village
Nombre de messages : 1744 Localisation : les Alpes Date d'inscription : 25/11/2004
| Sujet: Re: Chansons Mer 2 Fév à 18:58 | |
| J'écume
Au large les barges se gondolent dans le roulis Ici on cuit Au bain-marie Un coup j'te lave un coup tu m'essuies Ici on se botte On se débecte Et les mouettes se délectent De nos anecdotes
Au large les barges se gondolent dans le roulis Ici on suit Des bikinis Les jours de grève le sable s'ennuie On se prélasse Dans les grandes surfaces Là où se pressent les huiles et les bigorneaux
J'écume J'm'enrhume Je n'ai qu'une idée Eternuer Te retourner le canoë Etre le dernier A s'éterniser sur ton corps alangui
Au large les barges se gondolent dans le roulis Ici on joue du clapotis Du bord de mer Dans mon jacuzzi Du premier jet J'ai tout gardé Puis j'ai mélangé Le léger et le corsé
J'écume J'm'enrhume Je n'ai qu'une idée Eternuer Te retourner le canoë Etre le dernier A s'éterniser sur ton corps alangui
J'écume J'écume J'm'enrhume
(Bashung) | |
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| Sujet: Re: Chansons | |
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