Les Hauts de Kriskatane
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 Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction...

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chrystel
Citoyen(ne) d'Honneur
chrystel


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MessageSujet: Re: Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction...   Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction... - Page 2 EmptyDim 22 Mai à 13:17

- « Je te dis qu’on aura des ennuis ! », s’écria le vieil homme.
- « Mais non, mais non... Il fallait bien aider cette charmante dame. Elle avait l’air si désemparée ! Elle n’a rien fait, c’est évident ! Elle n’a pas la tête d’une criminelle ou d’une trancheuse de main !»
- « Qu’est-ce que tu en sais ? Tu ne la connaissais que depuis 2 minutes quand tu as menti à la police ! »
Agacée, la vieille dame tapa violemment du poing sur la table.
- « Crois-moi Robert, je m’y connais ! Cette femme n’est pas un assassin ! J’ai lu tous les Agatha Christie, les Mary Higgins Clark, je m’y connais je te dis ! »
- « Tu es une illuminée, Marie !!! »
La vieille dame serra les dents et leva les yeux au ciel en soupirant.
- « Comment as-tu pu mentir à la police avec un tel aplomb ? Et deux fois de suite ! Tout d’abord dans la chambre de cet alcoolo puis lors de l’interrogatoire ! La femme était dans la chambre quand nous sommes entrés et non dans le couloir avec ce Manu et nous ! Nous aurons des ennuis, tu vas voir ! D’ailleurs c’est ce qui nous arrive toujours... A cause de toi et de ta curiosité maladive ! »
- « Et bien tu n’avais qu’à me contredire si tu penses que j’avais tort ! », vociféra Marie.
Elle le fusilla du regard et termina son café en silence.
- « Tiens... Tiens... Cette chipie a menti à l’officier Tanguy...», pensa le lieutenant Chevran.
Elle se frotta les joues avec son index droit. Un tic qui ne la quittait pas dès qu’elle réfléchissait.
Son assistant Tanguy avait longuement interrogé le vieux couple et il était revenu avec un rapport des plus clairs : Vanessa était avec Manu et le couple dans le couloir, quand l’alcoolo avait ouvert la porte de sa chambre, c’est lui qui avait crié, ce qui avait alerté ces 4 personnes. Déposition qu’avait confirmée Andy Mac Well quand le sous-lieutenant Marc Ricci l’avait interrogé après son séjour en salle de dégrisement... Enfin... «Confirmé» était un bien grand mot... Puisqu’en fait, il disait ne plus se souvenir de rien du tout sauf d’avoir bu quelques verres au Blue Lagon et d’avoir vu cette main dans sa salle de bain en rentrant dans sa chambre d’hôtel.
Le lieutenant Chevran attrapa son téléphone portable caché dans la poche intérieure de son blouson en cuir et téléphona à l’officier Bravard.
- « Joël, tu m’entends ? »
- « Oui lieutenant, à peu près »
- « Je ne peux pas parler fort... Va au Blue Lagon et enquête pour savoir si Andy Mac Well était seul hier soir au club et s’il en est repartit seul... Emmène avec toi la photo qu’on a prise de lui au commissariat ».
- « Ok, lieutenant. Je pars immédiatement ».
Elle avait comme un mauvais pressentiment…
- « Je crois que je suis entourée d’une belle bande de menteurs... », murmura-t-elle pour elle même.
Car ce qu’ils ignoraient... C’est qu’elle avait un témoignage qui venait contrecarrer le leur.
Le voisin de porte des Deville, un VRP qui avait lui aussi entendu les cris, était sorti de sa chambre et avait rencontré dans le couloir, Les Deville et Mr Labarthe... Mais n’avait pas vu de Vanessa... Et il était formel : il avait entendu des cris de femme, pas d’homme. Ou alors, c’était un vrai castra !
Nonobstant, elle avait téléphoné à Littération pour vérifier les dires de Mr Labarthe… Et son chef de rédaction avait été très clair : il ne l’avait pas du tout envoyé écrire un papier sur les vols dans les parcs à huîtres du littoral de Kriskatouën... Mr Labarthe avait subitement pris quelques jours de congé.
Ces cinq là savaient quelque chose qu’elle ignorait et elle comptait bien le découvrir...
Tout à coup le vieux couple se leva de table et elle rabattit sa casquette sur la tête afin de cacher son visage. Ils passèrent devant elle sans la voir... Et qu’elle ne fut pas sa surprise quand elle aperçut le couple s’asseoir à la table des trois autres suspects...
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la Gazelle
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la Gazelle


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MessageSujet: Re: Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction...   Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction... - Page 2 EmptyMar 7 Juin à 20:22

- Et bien mes enfants, nous nous retrouvons mêlés dans une sombre affaire, annonça Marie Deville. Dire que nous étions venus, avec Robert, nous reposer à Kriskatouën… J'ai l'impression que ça ne va pas être de tout repos ! Ca me rappelle nos vacances il y a deux ans à Dolville, pas toi Robert ?
- Si, si… grommela son mari. Justement, ça ne me rassure pas !
- Pourquoi, que s'était-il passé ? s'empressa de demander Vanessa.
- Une jeune fille avait disparu et, ayant sympathisé avec ses parents, je les ai aidés à la retrouver… Il faut dire que j'ai toujours rêvé d'être détective privé et que j'ai lu tous les livres s'y rapportant. Je relève donc les moindres indices dans chaque nouvelle affaire, répondit Marie très fière, et bien souvent, je devance la Police dans ses recherches.
- Mais… Vous avez résolu beaucoup d'affaires comme ça ? questionna Andy.
- Oh oui ! Des dizaines ! Je ne les compte même plus !
- Dans ce cas, continua Vanessa, vous allez peut-être pouvoir nous aider…
Manu et Andy la dévisagèrent, pressentant ce qu'elle allait leur dévoiler, mais ils se rendaient bien compte que pour le moment, ils ne savaient par où commencer pour résoudre leur affaire.
Vanessa leur communiqua alors tous les éléments qu'ils avaient en leur possession : le message laissé sur le répondeur de Manu, la disparition de Pierre et de Cléo, le message que cette dernière a laissé à son frère Andy…
Marie avait sorti un petit carnet de son sac et notait scrupuleusement tous les renseignements. Lorsque Vanessa eut terminé de raconter ce qu'elle savait, Marie prit la parole :
- Et bien ! Quelle histoire ! Mais nous allons y arriver mes amis ! Nous allons retrouver Pierre et Cléo, je peux vous l'assurer… Reste juste à savoir par où commencer ! Ce que je peux déjà vous affirmer, c'est que la main retrouvée dans la salle de bains était celle d'un homme. Vous pensez bien que j'ai tout de suite noté ce détail. Ce qui est certain également, c'est qu'elle n'a pas été coupée dans votre chambre Andy puisqu'il n'y avait pas d'autres traces de sang que celles retrouvées dans la baignoire, sur le bord et sur le carrelage au pied de la baignoire. Or, si elle avait été tranchée dans cette chambre, il y aurait eu obligatoirement beaucoup plus de traces de sang. Je pense que cette main est un signe d'avertissement…
- Mais à qui appartient-elle alors ? demanda Manu
- Ca, nous ne le savons pas encore… Mais nous allons finir par trouver ! répondit Marie. Vous m'avez dit que la chambre avait été réservée pour Cléo, dont c'était certainement pour l'intimider, pour ne pas qu'elle ait l'idée de prévenir la Police concernant la disparition de Pierre. Avant toute chose, il nous faut retrouver la trace de Cléo !
- Et qu'est que vous nous suggérez ? questionna Andy. Nous ne savons pas où elle est !
Marie regarda Andy et lui demanda :
- Où habite Cléo ?
- A la sortie de la ville, elle a un petit deux pièces dans une résidence.
- Vous avez un double des clés ?
- Euh… Non... Mais le concierge en a un.
- Alors, allons-y ! Nous allons inspecter au peigne fin l'appartement de Cléo d'en l'espoir d'y trouver des indices ! L'un de vous peut tous nous y conduire ?
- Oui, moi ! répondit Manu en se levant. J'ai une voiture suffisamment grande.
Tous les cinq quittèrent la terrasse du café…
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Isis
Adjointe à la qualité de vie
Isis


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MessageSujet: Re: Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction...   Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction... - Page 2 EmptyLun 20 Juin à 21:18

L'inspecteur Chébran les regarda s’éloigner du coin de l’œil, attendant quelques instants avant de se lever pour les suivre. Elle n’avait pas pu entendre toute la conversation, ils parlaient très bas, sauf la vieille dame qui avait une voix assez forte.

« Alors comme ça, madame Deville se prend pour une grande détective » se dit-elle « Et tous les autres qui suivent comme des idiots ! Ma parole, ils ne se rendent même pas compte qu’ils se fichent dans des sales draps, aussi bien pour obstruction à la justice avec leurs cachotteries, qu’en se frottant à des gens qui sont peut-être des assassins. S’ils sont innocents, ces imbéciles risquent gros avec leur attitude ».

Une fois dans sa voiture, elle appela ses hommes tout en surveillant le petit groupe qui s’installait tranquillement dans l’espace de location du journaliste.

« Renseignez vous un peu plus sur le couple Deville », ordonna-t-elle « surtout sur la femme, Marie. Il paraît qu’elle a été mêlée à plusieurs enquêtes policières, en particulier une histoire de disparition d’une jeune fille. J’aimerais bien savoir si elle a réellement aidé la police ou si elle s’imagine juste qu’elle est la nouvelle Miss Marple ».

Tout en écoutant les questions posées par son interlocuteur, elle démarra et s’inséra facilement dans la circulation, heureusement fluide à cette heure-ci. Elle laissa 3 voitures entre elle et l’espace, pour ne pas attirer l’attention d’un des membres du groupe.

« Non, je n’ai pas le nom de la fille disparue, et je ne sais pas non plus ou ça s’est passé » et elle ajouta d’un ton sec : « Je sais que ça ne va pas être facile, mais il faut tenter de savoir, et surtout, réussir ! Alors au boulot ! »

Elle raccrocha, furieuse, sachant très bien que son collègue avait raison et qu’avec si peu d’éléments, il faudrait un coup de chance pour en savoir plus sur les activités de cette vieille dame.

« Déjà que cette affaire s’engage mal, il ne me manquait plus qu’une équipe de bras cassés pour fiche encore plus la pagaille ».

En quelques minutes, elle traversa la ville en suivant discrètement le petit groupe qui ne se doutait pas de sa filature. Ils arrivèrent tous devant quelques petits immeubles résidentiels presque à la sortie de la ville, au grand soulagement de Chébran qui voyait les autres voitures se raréfier et craignait d’être repérée à tout instant. Elle continua de rouler jusqu’au bout de la rue, se retournant fréquemment pour être sure que les autres allaient bien descendre ici.

Elle se rangea à la seule place encore libre, descendit et alla rapidement se dissimuler derrière un platane pour mieux surveiller ce clan des cinq monté en graine. Ils avaient l’air d’hésiter, et elle rageait de ne rien entendre de leur conciliabule animé. Ils n’avaient pas l’air d’accord sur la suite de leur action, et elle se demanda ce qu’ils pouvaient bien être en train de comploter ainsi.

Absorbée dans sa surveillance, elle ne remarqua pas un vieux monsieur qui l’observait de sa fenêtre, juste au dessus d’elle. Tout à coup, elle sursauta en s’entendant apostropher d’une voix tonitruante :

« Eh ! Vous, là, en bas ! Qu’est ce que vous foutez à surveiller les gens comme ça ? Je vous ai à l’œil, moi, vos mauvais coups je les vois venir ! »

Elle leva la tête, complètement prise au dépourvu…
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chrystel
Citoyen(ne) d'Honneur
chrystel


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MessageSujet: Re: Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction...   Roman dont le titre sera défini à la fin de sa rédaction... - Page 2 EmptyMer 24 Aoû à 15:06

Le vieillard, penché à sa fenêtre, la fixait d’un œil féroce mais le lieutenant avait du mal à le voir car elle avait le soleil en plein dans les yeux.
Tout à coup, il manqua lâcher sa canette de bière et la retint de justesse, proférant une ribambelle de jurons. Puis il bu une puissante goulée et referma violemment sa fenêtre.
- « un alcoolo de plus », grommela-t-elle.
Il manquait plus qu’on ivrogne vienne lui gâcher sa filature !
Elle rabattit davantage sa casquette sur la tête, et s’assit sur un banc, un peu plus loin dans la rue. Elle sortit de sa poche la Game Boy qu’elle avait confisquée à son fils il y a quelques jours et fit mine de jouer. Elle ressemblait ainsi plus à un ado qu’à un flic espionnant un clan de détectives en herbe qui ne l’avaient de toute façon même pas remarquée !
Le petit groupe était toujours arrêté devant la porte d'entrée de l'l'immeuble.
- « je vais demander au concierge de m’ouvrir la porte. Il ne devrait pas y avoir de problèmes, il m’a vu il y a quelques jours avec Cleo », annonça Andy.
- « nous venons avec vous ! », répliqua Mme Deville, poussant Andy du coude et pressant le pas pour lui passer devant et entrer la première dans le petit immeuble exigu.
Elle repéra tout de suite la porte du concierge et sonna énergiquement chez Mr Cohen.
Andy l’attrapa par le bras et la repoussa derrière son mari.
- « Poussez-vous de là ! », grogna-t-il.
Une petit homme robuste et à moitié chauve ouvrit la porte, à demi caché derrière une chaînette de sécurité.
- « Monsieur Cohen, vous me reconnaissez ? Je suis le frère de Cléo, elle habite au 2ème étage ».
- « oui oui, je vous reconnais parfaitement, monsieur ».
- « auriez-vous la gentillesse de m’ouvrir la porte de son appartement, j’ai oublié les clés »
- « je ne sais pas si je peux…. Mademoiselle Cléo ne m’a pas donné d’instruction à ce sujet ».
- « s’il vous plait… "
- "je ne sais pas... Pourquoi donc voulez-vous entrer chez elle ?"
Andy fut surpris par cette question mais n'en laissa rien paraître. Il rétorqua du tac au tac :
- "Je dois nourrir son petit chat, sans quoi il va mourir ! »
Le vieil homme le toisa quelques minutes en silence, tout en se frottant la joue gauche de son index droit. Son visage prit alors une moue cruelle et sa bouche se tordit en vocéférant :
- « mademoiselle Cléo n’a pas de chat ! Fichez-moi l’camp, espèce de petit vaurien ! »
Et il lui claqua la porte au nez.
Andy, furieux, se mit à tambouriner la porte de coups de poings.
- « Tu vas ouvrir cette putain de porte ! ».
Manu lui enserra les bras et le tira en arrière.
- « calme-toi, voyons !»
Vanessa s'approcha d'Andy et lui tendit une fiole de cognac qu’elle gardait dans son sac. Tandis qu'Andy en buvait une grande gorgée, Manu frappa de nouveau à la porte du concièreg.
3 coups secs.
- « Monsieur Cohen, ouvrez s’il vous plait, en il est arrivé quelque chose à Cléo, vous seul pouvez nous aider !»
Mais aucune réponse ne vint.
Manu se tourna vers Vanessa, cherchant une lueur d'espoir dans ses yeux.
- "bon, que faisons-nous maintenant ?", dit-il.
Tout à coup la porte se rouvrit. Monsieur Cohen était là, toujours caché derrière la chaînette de sécurité, un téléphone portable à la main.
- « fichez-moi l’camps ou j’appelle la police ! »
Manu articula bien distinctement :
- « Monsieur Cohen, je vous explique ce qui se passe. En fait nous n’avons plus de nouvelles de Cléo depuis quelques jours et nous craignons qu’il ne lui soit arrivé quelque chose ! C’est la vérité ! Je vous supplie de bien vouloir nous ouvrir la porte de son appartement !».
Le vieux monsieur garda le silence quelques secondes… puis leur referma la porte au nez.
- “son of the bitch !”, cria Andy en se jetant contre la porte pour la marteler une nouvelle fois de coups de poings.
- « tant pis ! montons au 2ème étage, je vais forcer sa porte ! », annonça-t-il.
Il se retourna et partit en direction de l’escalier.
C'est alors que la porte de Monsieur Cohen se rouvrit de nouveau.
Le concierge en sortit, un trousseau de clé à la main.
- « d'accord, suivez-moi ».
Ils montèrent les marches 4 à 4 en file indienne jusqu’à l’appartement de Cléo.
Le cœur d’Andy battait la chamade, il avait comme un mauvais pressentiment.
Le concierge ouvrit précipitamment la porte et Andy se rua à l’intérieur.
Il s’immobilisa aussitôt.
L’appartement avait totalement été mis à sac !
- «Mademoiselle Cléo a été cambriolée ! », cria le concierge en pénétrant dans l'appartement.
- « ou alors quelqu’un est venu ici et a tout chamboulé, à la recherche de quelque chose de précis », rétorqua Marie qui suivait le concierge comme son ombre, un calepin à la main, notant ce qu’elle voyait au passage.
Ils entrèrent alors tous dans l'appartement et chacun se mit à la recherche d'un indice quelconque.
Quelques minutes plus tard, le concierge annonça :
- « Cela suffit, j’appelle la police ».
- « Pas la peine, elle est là », cria une voix derrière eux.
Ils se retournèrent tous et virent le lieutenant Chevran, nonchalamment adossé à la porte d’entrée, entourée de 2 autres policiers.
- « coffrez-moi tout ce petit monde ! », ordonna-t-elle.
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